Pour mieux lire la carte, nous vous conseillons de vous rendre ICI car La Horde détaille toutes les nuances d’extrême droite (électoralistes, activistes, réactionnaires, les médias...)
Une fois que vous aurez repéré leurs visuels sur le site,vous repérerez plus facilement leurs collages et divers autocollants dans la rue. On en retrouve régulièrement autour des lycées car ces groupes cherchent régulièrement à recruter de jeunes voire très jeunes militant.e.s.
Groupes violents identitaires identifiés en Occitanie
A Toulouse, les restes de Génération identitaire (GI) sont à Furie Française, créée en octobre 2021. On les retrouve avec des militants de la Cocarde ou de l’AF dans les violences organisées sous le label Alliance scandale contre le mouvement social toulousain. Ils servent de petites mains à Reconquête ! et au RN.
A Montpellier, Jeunes d’Oc est la structure déployée par l’ancienne section de GI. Quant à l’Action française, elle maintient une activité régulière, parfois avec la Ligue du midi animée par la famille Roudier. En ce début d’année un nouveau groupe a vu le jour : le Bloc montpelliérain, composé d’anciens des Jeunesses Saint-Roch qui tente des agressions dans les mouvements sociaux. D’autres groupes (Patria Albigès et Novelum Carcassonne) sont des satellites de Furie française ou de la Ligue du Midi.
À Perpignan, ville gérée par le RN, deux structures d’extrême droite ont fait leur apparition : le groupuscule Unité Sud et le local « identitaire » 7.59 qui organise des conférences.
D’autres municipalités sont également occupées par l’extrême droite : Robert Ménard (ex RN, partisan de l’union des droites) à Béziers, Romain Lopez (ex RN) à Moissac et Julien SANCHEZ (RN) à Beaucaire.